Hélène Rollès, ses garçons et tous ses copains sont de retour ce dimanche 22 décembre 2024 dès 20h05 sur TMC pour un prime spécial des Mystères de l’amour pour noël.

Alors qu’elle vient de sortir son nouvel album baptisé Hélène 2024 et qu’elle s’apprête à remonter sur scène, l’éternelle Hélène est entourée de toute sa bande et d’anciens acteurs des productions de Jean-Luc Azoulay pour un prime spécial des Mystères de l’amour, diffusé ce dimanche 22 décembre 2024 dès 20h05 sur TMC et intitulé Si on se mariait à noël. Il y est question du remariage de Fanny et Christian et du Père Noël… Télé-Loisirs a rencontré Hélène Rollès, qui devra surmonter son immense trac avant de remonter sur la scène du Théâtre Marigny pour deux concerts, organisés les 7 et 8 mars 2025.

Les Mystères de l’amour : “On grandit ensemble depuis 1991”, Hélène Rollès explique le lien privilégié qui la lie à ses camarades de la série

Télé-Loisirs : Alors, cette année, Les Mystères de l’Amour fêtent à nouveau Noël. Que vous pouvez-vous nous dire sur ce prime ?
Hélène Rollès : Il raconte le remariage de Fanny et Christian. Et, comme tous les ans à cette époque, c’est aussi l’anniversaire de notre fils avec Nicolas. Je vous rappelle que j’avais accouché le 25 décembre dans une étable entre le bœuf et l’âne ! [Elle rit.]

Dans ce prime, vous retrouvez d’anciens camarades comme Camille Raymond, Magalie Madison, Bruno Le Millin ou Rochelle Redfield…
C’est toujours un bonheur ! C’est chouette. On ne se perd pas de vue.

Est-ce que c’est un peu comme une famille qui se retrouve chaque année pour les fêtes ?
C’est exactement ça. On grandit ensemble depuis 1991 et on s’aime vraiment. C’est aussi pour cette raison qu’on n’a pas envie d’arrêter.

À la grande époque d’Hélène et les garçons, le journal britannique Sunday Times vous avait comparée à Brigitte Bardot. Quand vous lisez ça, que se passe-t-il dans votre tête ?
Rien ! Ce n’est pas l’avis du monde entier, juste celui d’un journaliste. De toute façon, je lisais très peu la presse, parce que soit cela allait me faire du mal, soit j’allais me prendre pour Miss Monde. C’est ridicule.

La recette des Mystères de l’amour et du personnage d’Hélène, à l’écran ou dans la chanson, n’a jamais changé. Serait-ce possible de la faire évoluer, ne serait-ce qu’à la marge ?
Cette formule, c’est celle du producteur Jean-Luc Azoulay. C’est ce qu’il aime et ce qu’il sait faire. Pour les chansons, je les interprète avec plaisir. J’en écris aussi mais je n’ai pas, comme lui, 3000 chansons sous le coude.

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N’avez-vous jamais eu envie d’explorer d’autres rôles ou univers ?
On m’a proposé des choses, mais cela ne m’a pas motivée plus que ça. Plus jeune, je voulais être agricultrice ou travailler dans le tourisme. Je n’envisageais ni de jouer la comédie ni de devenir chanteuse. Je n’ai pas écumé les petites salles, j’ai fait directement le Zénith.C’est d’ailleurs pour cela que certains journalistes nous détestaient. On dérangeait beaucoup. On le savait. Mes chansons ne passaient jamais à la radio. C’est le jeu.

Cet univers que vous incarnez, c’est comme un doudou pour plein de gens…
Le public nous considère comme faisant partie de la famille. C’est réconfortant, cela rappelle l’insouciance. C’est bien parce que cette insouciance, on la perd.

Pourquoi vous exprimez-vous si peu sur votre vie privée ?
La vie privée doit le rester. Je ne vois pas qui ça peut intéresser. Enfin, peut-être que ça passionne, mais je ne vois aucun intérêt à en parler.

Que ferez-vous après Les mystères de l’amour ?
Je vais me reposer. Je ne vais pas travailler comme Jean-Luc jusqu’à 300 ans ! [Elle rit.]

Dans l’un des titres de votre dernier album, vous chantez : “Je n’ai pas besoin de gloire ni de fortune.” Et vous, en avez-vous besoin ?
Non, l’essentiel, c’est ma famille et la nature, le reste est accessoire.